vineri, 8 august 2014

Le sionisme avec ses propres mots. Sionismul cu propriile sal cuvinte

Vă rog să citiți acest text selectat de mine, în speranța că vă poate interesa. Cu prietenie, Dan Culcer
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LE 11 MARS 2003 : LE SIONISME AVEC SES PROPRES MOTS

Chers camarades et amis
Un article datant de 2003 concernant les paroles des cadres sionistes à l'encontre de la Palestine et des Palestiniens.
Aujourd'hui, certains membres du gouvernement ou de la communauté juive, agitent le spectre d'un retour de l'antisémitisme, et osent pour certains, réactiver la notion de "pogroms".Ils font délibérément un mélange des genres entre solidarité avec la Palestine, dénonciation du crime perpétré à Gaza depuis 28 jours, et antisémitisme, dans son volet racisme anti-juif... tout cela pour masquer le fond et la vérité !
Mais, à la lecture de ces déclarations des cadres sionistes, dont un prix Nobel de la Paix, vous allez vite comprendre qui sont les racistes et qui sont en réalité ceux que Messieurs Hollande, Valls et Fabius, ainsi que leurs amis du Crif et de la LDJ, protègent... quite à voir Le Pen accéder à la Présidence en 2017. Il est clair qu'antisémitisme et sionisme forment un couple infernal qu'il faut éliminer tous deux.Terrible et sans aucun trucage, tout est vérifiable.
cordialement,
Collectif Bassin Minier Ouest pour la Paix en Palestine

bmopaixenpalestine@gmail.com

Le sionisme avec ses propres mots Le 11 mars 2003
L'amnésie est décidément un mal récurrent de nos sociétés occidentales, au sujet du sionisme, Il fut un temps où la "Communauté internationale" considérait les milices sionistes comme des groupes terroristes.

Ce qui suit est une compilation de citations sélectionnées provenant de personnalités sionistes et israéliennes proéminentes, qui incarnent le discours de haine, de racisme, et de rejet qui nourrit la société israélienne depuis la courte existence de l'Etat dit d'Israël qui n'a en fait que peu à voir avec la tradition israélite. Ce langage de négation de l'existence des Palestiniens et l'indifférence flagrante à la propre humanité du peuple palestinien est peut être l'aspect le plus dangereux de la politique sioniste israélienne. Il est impératif que les leaders politiques et les personnalités politiques de toute société, encouragent les principes de respect mutuel, de tolérance, et d'humanisme, afin de nourrir une vision plus constructive. Et encore, nous ne sommes pas allés chercher les citations de Théodore Herzl, de Vladimir Jabotynski ou des rabbins extrémistes des colons. Car là, nous aurions plongé dans l'apologie de l'extermination systématique.

« A chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l'Amérique fera ceci ou fera cela. Je veux te dire une chose très claire : ne t'inquiètes pas des pressions américaines sur Israël. Nous, le peuple Juif, contrôlons l'Amérique, et les Américains le savent »

Ariel Sharon, 3 octobre 2001 à Shimon Pérès, comme cela est rapporté sur Kol Yisrael Radio.

« Il y a un immense trou entre nous et nos ennemis, pas seulement dans la capacité, mais aussi dans la moralité, la culture, la sainteté de la vie, et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c'est comme si à une distance éloignée de quelques centaines de mètres, il y a une population qui n'appartient pas à notre continent, à notre monde, mais en fin de compte à une autre galaxie »

Moshé Katsav, président israélien, The Jerusalem Post (10 mai 2001).

« La Jordanie fait partie du grand Israël dans l'histoire »

Ariel Sharon lorsque il est devenu Premier ministre en 2000.

« Les Palestiniens sont comme des crocodiles, plus tu leur donnes de la viande, le plus ils en veulent »

Major-général (CR) Ehud Barak, ancien Premier Ministre, 28 août 2000. Rapporté dans The Jerusalem Post (30 août 2000).

« » Tout le monde doit bouger, courir, et s'emparer d'autant de collines qu'il est possible pour agrandir les colonies parce que tout ce que l'on prendra maintenant restera à nous. Tout ce que nous ne prendrons pas par la force, ira à eux

Ariel Sharon, premier Ministre Israélien lors d'un meeting de militants du parti d'extrême droite Tsomet. AFP (15 novembre 1998).

« Les accords d'Oslo sont très importants pour les Palestiniens depuis que ce sont les seuls accords officiels qu'ils possèdent. Nous avons un autre document, encore beaucoup plus ancien... la Bible »

Ariel Sharon parlant dans une conférence à Washington, le 8 mai 1998.


« Nous ne savions pas ce qu'il fallait faire d'eux (prisonniers de guerre Egyptiens en 1956). Il n'y avait pas d'autre choix que de les tuer. Ce n'était pas une telle affaire si vous prenez en considération que je dormais bien après avoir échappé aux fours crématoires d'Auschwitz »

Brigadier-général Arieh Biro, The New York Times (21 août 1995).

« Les Palestiniens devraient être écrasés comme des sauterelles...leurs têtes fracassées contre des rochers et des murs »

Général Yitzhak Shamir s'adressant aux colons Juifs, New York Times (1er avril 1988).

« Nous devons tuer tous les Palestiniens jusqu'à ce qu'ils soient résignés à vivre ici comme des esclaves »

Le président Heilbrun du comité pour la réélection au poste de maire de Tel-Aviv du général Shlomo Lahat en octobre 1983.

« Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont pas le droit de s'installer sur même un cm2 d'Eretz Israël. La force est le seul langage qu'ils comprennent. Nous devrons utiliser la force ultime jusqu'à ce que les Palestiniens viennent en rampant vers nous à quatre pattes »

Rafael Eitan, Ra’Mat’Kal (chef d’état-major israélien). New York Times (14 avril 1983).

« Lorsque nous aurons colonisé le pays, tout ce que les Arabes seront capables de faire, sera de détaler tout autour comme des cafards drogués dans une bouteille »

Rafael Eitan, Ra’Mat’Kal (chef d’état-major israélien). New York Times (14 avril 1983).

« Les Palestiniens sont comme des bêtes marchant sur deux pattes ».

Menahem Begin, discours à la Knesset, cité par Amnon Kapeliouk, Begin et les bêtes. New Statesman (25 juin 1982).

« Nous marchions dehors, Ben-Gourion nous accompagnant. Allon répéta cette question, qu'est-ce qu'on doit faire de la populationpalestinienne ? Ben-Gourion agita sa main dans un geste qui voulait dire "conduisez-les en dehors" ! »

Yitzhak Rabin, la version censurée des Mémoires de Rabin divulguée, publié dans le New York Times (23 octobre 1979).

« C'est le devoir des leaders israéliens d'expliquer à l'opinion publique clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier est qu'il n'y a pas de sionisme, de colonisation, d'État Juif sans l'éviction des Arabes et l'expropriation de leurs terres »

Yoram Bar Porath, Yediot Aharonot (14 juillet 1972).

« La thèse que le danger de génocide était suspendu au-dessus de nos têtes en juin 1967 et qu'Israël combattait pour sa survie était juste un bluff, qui est né et s'est développé après la guerre »

Général Matityahu Peled, Ha'aretz (19 mars 1972).

« Il n'y a pas semblable chose que les Palestiniens, ils n'ont jamais existé »

Golda Meir Premier ministre Israélien le 15 juin 1969

« Des villages juifs furent construits à la place des villages arabes. Vous ne pouvez même pas connaître le nom de ces villages arabes, et je ne vous blâme pas parce que les livres de géographie existent depuis peu. Non seulement les livres n'existent pas, les villages arabes ne sont pas là non plus. Nahlal s'élève à la place de Mahlul ; Kibbutz-Gvat à la place de Jibta : Kibbutz-Sarid à la place de Huneifis ; et Kefar-Yehushua à la place de Tal al-Shuman. Il n'y a pas un seul endroit construit dans ce pays qui n'ai pas eu une ancienne population arabe »

Moshe Dayan, adressé à The Technion Haifa, rapporté par Ha'aretz (4 avril 1969).

« Comment pouvons-nous revenir des territoires occupés ? Il n'y a personne qui y retourne »

Golda Meir, Premier ministre israélien 15 juin 1969.

« Nous devons tout faire pour nous assurer que les Palestiniens ne reviendront jamais, les vieux mourront et les jeunes oublieront » David Ben-Gourion dans ses mémoires le 18 juillet 1948 (page 157)

« Le terme annexion n'est pas à sa place. Les mesures adoptées relatent l'intégration de Jérusalem dans les sphères administratives et fournissent une base légale pour la protection des endroits saints de Jérusalem «

Abba Eban le ministre israélien des affaires étrangères devant l'Assemblée des Nations Unies le 4 juillet 1967.

« Nous devons réduire la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de domestiques »

La description de Rabin de la conquête de Lydda après l'achèvement du Plan Dalet. Uri Lubrani, conseiller spécial de Ben-Gourion sur les Affaires Arabes, 1960. (The Arabs in Israel par Sabri Jiryas).

« Je jure que si j'étais juste un civil israélien et que je rencontre un Palestinien, je le brûlerais et le ferais souffrir avant de le tuer. J'ai tué 750 Palestiniens d'un seul coup (à Rafah en 1956). Je voulais encourager mes soldats à violer les filles arabes comme la femme palestinienne est une esclave pour les Juifs, et nous leur faisons de toute façon ce que nous voulons et personne nous dit ce que devons faire, mais nous disons aux autres ce qu'ils doivent faire »

Ariel Sharon, dans une interview avec le général Ouze Merham, 1956.

« Je ne connais pas cette chose appelée règle internationale. Je jure que je brûlerais tout enfant palestinien qui sera né dans ce quartier. La femme palestinienne et son enfant est plus dangereuse que l’homme, parce que l'existence des enfants palestiniens signifie que des générations continueront, mais l'homme cause un danger plus limité »

Ariel Sharon, dans une interview avec le Général Ouze Merham en 1956.

« Le plus spectaculaire événement dans l'histoire contemporaine de la Palestine, plus spectaculaire dans un sens que la création de l'État juif, est l'évacuation de masse de sa population arabe qui a entraîné aussi des milliers d'Arabes de régions menaçantes et/ou occupées par nous en dehors de nos frontières »

Moshe Shertok-Latter ministre israélien des affaires étrangères dans une lettre à Goldmann le 15 juin 1948.

« Nous devons nous préparer à l'offensive. Notre but est de frapper le Liban, la Transjordanie et la Syrie. Le point faible est le Liban, parce que le régime musulman est artificiel et il est facile pour nous de le déstabiliser. Nous devrons établir un État chrétien ici, et ensuite nous frapperons la Légion arabe, éliminerons la Transjordanie ; la Syrie tombera à son tour. Puis, nous bombarderons, avancerons et prendrons Port-Saïd, Alexandrie et le Sinai »

David Ben-Gourion, mai 1948 au Général Staff.

« La Terre Promise s'étend du Nil à l'Euphrate. Elle comprend des parties de la Syrie et du Liban »

Rabbi Fischmann, membre de l'Agence Juive pour la Palestine, dans son témoignage devant la Commission d'Enquête de l'Onu en 1947.

« Entre nous, il doit être clair qu'il n'y a pas de place pour deux peuple dans ce pays. Il n'y a pas d'autre solution que de transférer les Arabes dans les pays voisins, les transférer tous, pas un village, pas une tribu ne doit être laissée »

Yosef Weitz du Fonds National Juif, journal de bord en 1940.

« Ne nous racontons pas d'histoire. Politiquement, nous sommes les agresseurs et ils se défendent.. C'est leur pays, parce qu'ils y habitent, puisque nous voulons venir ici et coloniser, dans leur tête, nous voulons nous emparer de leur pays »

Discours de David Ben-Gourion en 1938 cité dans Zionism and the Palestinians par Simha Flapan (1979)

« Nous et eux (les Palestiniens) voulons la même chose : les deux voulons la Palestine. Et c'est le conflit fondamental »

David Ben-Gurion en 1936

« Après être devenu une force brute comme le résultat de la création de l'État, nous abolirons la partition et nous étendre dans toute la Palestine »

David Ben-Gourion.

« Ce n'est pas un problème de maintenir le statu quo. Nous devons créer un État dynamique, orienté vers l'expansion »

David Ben-Gourion

« Il y en a qui pensent que la population non-juive, même dans un pourcentage élevé à l'intérieur de nos frontières, sera davantage sous notre surveillance ; et il y en a qui pensent le contraire, c'est-à-dire, qu'il est plus facile de surveiller les activités d'un voisin que celle d'un locataire. J'ai tendance à soutenir la dernière opinion et j'ai un argument supplémentaire... le besoin de soutenir le caractère d'un État qui dorénavant sera juif… avec une minorité non juive limitée à 15 %. J'avais déjà appuyé cette position essentielle en 1940 et c'est inscrit dans mes mémoires »

Joseph Weitz, responsable du Département de Colonisation de l'Agence Juive. An Apartheid State par Uri Davis (page 5)

« Nous devons utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation de terres, et la coupe de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de sa population arabe »

Israel Koenig: The Koenig Memorandum.

« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal ; nous avons pris leur pays. Il est vrai que c'est la Terre Promise, mais comment cela pourrait les concerner ? Notre dieu n'est pas le leur. Il y a eu l'antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute ? Ils ne voient qu'une seule chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient-ils accepter ça ? »

David Ben-Gourion cité par Nahum Goldmann dans Le Paradoxe Juif (page 121)

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