duminică, 28 iunie 2015

Michel Segal. «Teoria complotului» — Sperietoarea

Vă rog să citiți acest text selectat de mine, în speranța că vă poate interesa. Autorul are perfectă dreptate. Când știm sau vedem cum am fost mințiți în mai toate cazurile de conflicte armate recente (Kossovo, Irak, Ucraina, Yugoslavia), când știm ce rol au serviciile de propagandă, de presă, de spionaj și contra-spionaj, militare sau »civile», industriale, comerciale în toate întâmplările lumii, când știm cum sunt ele folosite și cum colaborează ele cu marile grupuri bancare și comerciale ale lumii, cu toate oligarhiile transetnice pentru a șterge granițele și a-și transfera veniturile de mii de miliarde, fără a plăti impozite locale, atunci teoriile complotului, în circulație pe niște biete bloguri supravegheate și monitorizate de programe informatice speciale, concepute pentru a ne intra în minți și în intimități, mi se pare niște naive teze sau proteze ale unui naiv inventator de povești, față de realitatea adevăratelor comploturi. Despre care vom afla poate sau nu vom afla niciodată nimic. De altfel, de ce ar trebui să aflăm ? Suntem oare altceva decât niște maimuțe în cuști supuse unor experiențe planetare, înaintea exploziei finale.
«Le Bonheur regne sur Terre.
Qui en doute est malade
Qui este malade est soigné
Qui est incurable est executé.»

Robert Silverberg, Les Monades urbaines
Cine se teme de teoria complotului? Complotiștii, desigur? De ce sar la bătaie indivizi care nu pot avea onoarea de a fi complotiști. fiind prea nemenrnici și cu suflet de slugi? Tocmai fiindcă au suflet de slugi și speră să primească un os de ros de la complotiștii șefi.
Toți membrii societăților secrete, ai rețelelor mafiote de toată mână, chiar și cele de cartier sau de bloc, ai asociațiilor de într-ajutorare între șefi,  șemecherii care se consideră deasupra legii.

Cu prietenie, Dan Culcer

L’épouvantail de la « théorie du complot »

Mondialisation.ca, 26 juin 2015

Région : AsieRussie et CEI



Une véritable campagne d’intimidation se déploie – à coups d’émissions TV, de dossiers de presse, d’accusations infâmantes, de « listes noires »,  d’interdictions de parler etc… – à l’encontre de « complotistes » et de « confusionnistes » où l’on fait figurer, pêle-mêle, des critiques surtout dérangeants des politiques des Etats-Unis, d’Israël, de l’Union européenne etc… (curieusement, il s’agit toujours de ceux-là !)  et les « populistes » « antisémites » « conspirationnistes délirants » auxquels les précédents sont 0abusivement amalgamés.
Les procédés de cette « chasse aux sorcières », couverte par certains intellectuels français, sont de type policier et rappellent les méthodes de l’extrême-droite « organisée », y compris des menaces physiques à l’encontre d’organisateurs de débats « conspirationnistes ».
Cela frise la terreur intellectuelle, vu que les « accusés » sont quasiment mis en demeure de se taire ou, de facto, réduits au silence par des médias (journalistes) eux-mêmes effrayés d’être vus en sulfureuse compagnie.
Difficile de savoir « qui tire les ficelles » de ce…complot médiatique auquel prend également part une certaine « gauche » bienpensante. Il faudrait IDENTIFIER les sources, en particulier les soi-disant « antifas » qui se chargent de cette basse besogne.
A titre d’information, le « journal antiproductiviste » KAIROS publie cette critique cinglante de…

Le 4 janvier dernier, le New-York Times ouvre un débat dans ses colonnes avec une courte série d’articles sur les théories du complot1. Après les attentats parisiens du 7 janvier paraissent également dans les journaux français de nombreux articles sur ce thème – avec des titres explicites trahissant l’objectif poursuivi. On peut lire par exemple : « Les jeunes plus exposés à la théorie du complot », « Comment naissent les théories du complot », «   La théorie du complot, l’arme politique du faible », « Les rouages de la machine complotiste » ou encore « Pourquoi les enfants sont tentés par la théorie du complot ? ».
Tous ces articles évoquent les théories du complot sans qu’aucun d’eux n’ose préciser ce que ce vocable, hors de toute conviction, de toute réalité et de toute opinion, peut objectivement désigner. A leur lecture, apparaît pourtant le seul dénominateur commun de tous ces points de vue : la perte de confiance d’une partie de la population face à la présentation officielle d’évènements (ou à leurs analyses), c’est-à-dire émanant du pouvoir, grands médias ou institutions politiques. Cette défiance – justifiée  ou non – vis-à-vis des thèses officielles porte de plus en plus de gens à accorder leur confiance à des sources non officielles présentant des versions des faits sensiblement différentes. Dès lors, si l’on imagine que ce phénomène peut se généraliser à une part importante de la société, on comprend mieux l’inquiétude des pouvoirs, et plus généralement de nos élites. Car que resterait-il de notre système si les populations ne croyaient plus ce que leur disent les élites  politiques et médiatiques qui les dirigent ?
L’objectif de tous ces articles apparaît sans ambiguïté : décrédibiliser toute personne mettant en doute les thèses officielles, c’est-à-dire la vérité telle que la conçoit le pouvoir. A ce titre, toutes les vieilles méthodes sont employées, à commencer par l’emploi de néologismes suggestifs, comme « les conspirationnistes » évoquant sans détour l’image de gens à moitié fous s’imaginant que des comploteurs masqués se réunissent en secret la nuit dans les caves pour nuire à la communauté tout entière.
La seconde méthode, qui était fréquemment pratiquée par l’URSS et la Chine de Mao, consiste à disqualifier la parole des gens qui doutent des versions officielles en leur collant sur le dos une pathologie certifiée par des spécialistes. Ainsi, toute parole dissonante ou dissidente sera considérée comme un comportement déviant qu’il faut soigner. Comme le disait très sérieusement une journaliste de France 2 : « il faut repérer et traiter tous ceux qui ne sont pas Charlie »2. Dans la demi-douzaine d’articles du NYT3, un supposé spécialiste du phénomène dénonce la nature « paranoïaque » des conspirationnistes, un autre y voit le symptôme d’une anxiété « de masse » (on notera le choix du terme soulignant la nature peu instruite ou éduquée des conspirationnistes qui appartiennent à « la masse »), un autre encore évoque les croyances populaires aidant le peuple à admettre ce qu’il ne comprend pas.  Le portrait est dressé : celui qui émet un doute sur les thèses présentées par le pouvoir s’appelle un conspirationniste, c’est un malade mental généralement peu instruit appartenant à la masse et sujet à des croyances populaires car il ne comprend pas le monde. Dans les articles français, on trouve l’utilisation de la même méthode, puisque l’on parle de « vulnérabilité »  au conspirationnisme 4  comme à une maladie, vulnérabilité accrue avec la jeunesse : l’idée est de faire passer la remise en cause des thèses officielles pour de l’adolescence attardée. Les conspirationnistes sont donc des victimes – immatures dans la totalité des cas – et les journalistes se demandent comment leur venir en aide. L’un des articles va d’ailleurs plus loin que la simple référence à l’adolescence puisqu’il parle des enfants tentés par la théorie du complot 5. Ainsi, si un doute naît dans votre esprit sur ce qui vous est présenté officiellement, cela signifie que vous êtes retombés en enfance. Dans le même esprit, on notera également l’intervention dans les colonnes du NYT 6 d’une professeure de psychologie qui use d’une bienveillance maternelle avec une extrême condescendance jugeant ces théories risibles et inoffensives pour la plupart.

« Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage », c’est la troisième méthode destinée à neutraliser toute idée contraire aux thèses officielles. Pour cela, on va associer au conspirationnisme des thèses parfois indéfendables ou saugrenues, ou encore poursuivies par la loi. Ainsi, en lisant les articles cités plus haut, on pensera que les conspirationnistes ne croient pas aux premiers pas sur la lune en 1969, qu’ils sont convaincus que les extra-terrestres ont débarqué sur terre il y a longtemps (mais que les gouvernements nous le cachent), et enfin, que ce sont des négationnistes. Sachez donc que si vous doutez de certaines informations ou analyses exposées dans les grands médias, cela signifie que vous pensez que les extra-terrestres sont parmi nous et que vous niez l’existence des chambres à gaz. Cette méthode est d’une efficacité redoutable puisque, en ces temps terrifiants de procès pour pensée, de dénonciation calomnieuse d’intention ou de non-charlisme, chacun redoute, et c’est bien légitime, d’être soupçonné de la sorte et lynché.
Le portrait-robot du conspirationniste ayant été tracé, que ce soit sous les traits de la naïve victime de son incompréhension du monde, ou sous ceux du délire paranoïaque du malade mental, il faut aussi en citer des exemples et le situer sur un échiquier politique infréquentable. On lira alors dans Le Figaro : « le conspirationnisme était le propre de l’extrême droite. Depuis les attentats du 11 septembre, on le trouve aussi chez certains courants de la gauche radicale »7. Le message est clair : extrême droite et extrême gauche se rejoignent dans la déraison  ; seuls des extrémistes peuvent douter des versions officielles. Quant aux exemples, ils sont explicites : Alain Soral, l’humoriste Dieudonné ou Jean-Marie Le Pen sont cités. Une fois toutes ces précautions prises, on peut alors qualifier certaines analyses de conspirationnistes pour les discréditer. On apprend ainsi, par de supposés experts censés « démonter les mécanismes complotistes »8, que le conspirationnisme est très répandu en Russie. En effet, toujours dans le même article, d’après « l’expert » interrogé, « les télévisions du Kremlin décrivent (…) les révolutions de couleur comme des complots occidentaux ». Cette fois, si vous pensez que certains renversements de régime ont été organisés ou soutenus par des agences américaines, c’est que vous êtes victime de la propagande du Kremlin passé maître dans l’art du conspirationnisme. Dans Le Monde, on peut lire le même type de discours, tout aussi accusateur quand, à propos de l’assassinat de Boris Nemtsov, le journal écrit : « La théorie du complot prend de l’ampleur à Moscou (…) et le pouvoir russe n’hésite pas à désigner son commanditaire : l’Occident »9. L’objectif est ici, à l’aide de disqualification par théorie du complot, d’écarter toute explication autre que celle de l’assassinat de Nemtsov par le Kremlin.

Plus intéressante encore, et infiniment plus inquiétante, la description des conspirationnistes faite par la fondation Jean-Jaurès, le fameux think tank du parti socialiste auquel le président Hollande a commandé un rapport en janvier. Voici ce que le laboratoire d’idées, réputé siège de l’élite des intellectuels du parti gouvernemental, écrit  dans son rapport10 lorsqu’il entreprend de décrire  ceux qui doutent des thèses officielles : « (…) mouvance hétéroclite, fortement imbriquée avec la mouvance négationniste, et où se cotoient admirateurs de Hugo Chavez et inconditionnels de Vladimir Poutine. Un milieu interlope que composent d’anciens militants (…) d’extrême gauche,(…), souverainistes, nationaux-révolutionnaires, ultra-nationalistes, nostalgiques du IIIème Reich, militants anti-vaccination, partisans du tirage au sort, révisionnistes du 11 septembre, antisionistes, adeptes des médecines alternatives, agents d’influence du régime iranien, bacharistes, (…) ». 
De cet odieux inventaire à la Prévert destiné à rendre compte du conspirationnisme tel que l’entend le pouvoir, c’est le mépris et l’intolérance, voire la haine et l’insulte qui émergent de ces associations infâmes, mêlant sans honte les adeptes de la médecine douce avec les admirateurs de nazis et de Hugo Chavez (à propos de ce dernier, rappelons qu’il a été le président de gauche du Venezuela, régulièrement élu quatre fois consécutives, et qu’il s’est illustré au plan international par son refus de se plier à la domination américaine  ; son alliance avec Morales en Bolivie, Correa en Equateur ou Castro à Cuba en font un acteur majeur de la vague socialiste en Amérique latine, vague qui vient de faire plier Obama il y a quelques jours, contraint de lever l’embargo sur Cuba). D’après le Parti Socialiste français, approuver le socialisme de Chavez, c’est être un paria, tout comme refuser d’alimenter la guerre civile en Syrie, ou faire partie d’un milieu interlope, ou être antisioniste, ou être un nostalgique du IIIème Reich, c’est appartenir à une mouvance où se côtoient tous les infréquentables, tous les sorciers qu’il faut combattre. Notons d’ailleurs qu’à cette liste noire, la fondation Jean Jaurès ose ajouter, déshonorant ainsi le nom qu’elle porte, celui d’Etienne Chouard, simple citoyen blogueur devenu célèbre en 2005 pour avoir lancé une campagne pour le « Non » au référendum sur la Constitution européenne, et revendiquant aujourd’hui une position radicale sur la nécessité de repenser la démocratie.
A la lecture de cette description pitoyable – dont il faut répéter qu’elle est réalisée par l’élite du parti au pouvoir – on comprend aisément que sont estampillés conspirationnistes tous ceux qui ne pensent pas comme le veulent nos élites. Ainsi, le problème « complotiste» n’est plus de distinguer le vrai du faux, le vraisemblable de la fable ou le délire de la raison, non, le problème est de penser ou non comme le suggère le pouvoir. Il faut donc condamner tous ceux qui, finalement, « ne sont pas Charlie ».
Ce mois de janvier 2015 s’achève par un texte étonnant :
«  Pour combattre un ennemi, il faut d’abord le connaître et le nommer (…) c’est toujours le complot, le soupçon, la falsification (…). Les théories du complot se diffusent sans limites et ont, dans le passé, déjà conduit au pire. Alors face à ces menaces, il nous faut des réponses, des réponses fortes, des réponses adaptées. (…) Il faut prendre conscience que les thèses complotistes prennent leur diffusion par internet et les réseaux sociaux (…). Nous devons agir au niveau international pour qu’un cadre juridique puisse être défini, et que les plateformes qui gèrent les réseaux sociaux soient mises devant leurs responsabilités et que des sanctions soient prononcées en cas de manquement. »
Ces quelques lignes ne sont pas extraites d’un manuscrit d’Orwell qui n’aurait pas encore été publié, mais du discours de François Hollande prononcé le 27 janvier dernier à propos de l’antisémitisme. Deux semaines après ce discours, est publié le décret d’application11 du blocage de sites internet sans juge pour suspicion d’apologie d’actes terroristes, ce qu’Amnesty International dénonce comme un concept flou12 dans un article où l’on apprend le 18 mars que cinq sites ont déjà été bloqués sans procédure de justice.
Le 19 mars est présenté en Conseil des ministres le projet de Loi Renseignement, prévoyant de renforcer les données liées aux connexions internet : l’idée majeure est d’installer des boîtes noires chez les fournisseurs d’accès internet contrôlant et vérifiant tous les transits de données. L’argument est de les équiper d’algorithmes destinés à déceler des comportements proches d’éventuels terroristes, et de contrôler les personnes en contact avec les personnes déjà suspectées. De plus, la conservation des données est étendue de un à cinq ans et tous les opérateurs devront fournir les éléments permettant le déchiffrement des données. Le quotidien   Le Monde précise13 : « La France n’est pas seule à se pencher sur la question du chiffrement : le sujet est aussi à l’origine d’un bras de fer entre le FBI, Apple et Google. (…) Le premier ministre britannique, David Cameron, a quant à lui menacé ces derniers mois de rendre illégaux les systèmes de chiffrement dont les créateurs n’auront pas fourni les « clefs » aux autorités. »
Enfin, le 9 avril, les principaux hébergeurs de sites internet réagissent en lançant un signal d’alerte dans un communiqué adressé au Premier Ministre14. Outre dresser un tableau noir des conséquences économiques qu’aurait l’adoption d’une telle loi (perte de plusieurs milliers d’emplois et déménagement vers l’étranger de toutes leurs plateformes), ils s’opposent à la « captation en temps réel des données de connexion » par les boîtes noires aux  contours flous, et déclarent :   « [40% de clients étrangers] viennent parce qu’il n’y a pas de Patriot Act en France, que la protection des données des entreprises et des personnes est considérée comme importante. Si cela n’est plus le cas demain en raison de ces fameuses « boîtes noires », il leur faudra entre 10 minutes et quelques jours pour quitter leur hébergeur français. »(…)   «   En effet, nous ne sommes pas les États-Unis, nous n’avons pas de NSA, dont les activités de surveillance opaques ont poussé nombre d’entreprises et de particuliers du monde entier à devenir clients de la France : une démocratie plus transparente et respectueuse des droits de ses citoyens. »
Ainsi pourraient se dessiner les contours d’un nouveau monde, bien étrange, un monde dans lequel de grosses entreprises viennent au secours de nos libertés en nous protégeant du pouvoir politique.
Michel Segal
Kairos juin, 25 juin 2015
Michel Segal : Auteur de Ukraine : Histoires d’une Guerre, éditions Autres Temps, 2014.


joi, 25 iunie 2015

Proiectul Atlasul Național al Ungariei. Magyarország Nemzeti Atlasza (MNA) kutatócsoport

Vă rog să citiți acest text selectat de mine, în speranța că vă poate interesa. Proiectul Atlasul Național al Ungariei. Sursa http://www.mtafki.hu/kutatocsoportok/index.html
Cu prietenie, Dan Culcer

A kutatócsoport vezetője:Kocsis Károly
Tagok:Kovács ZoltánMichalkó GáborHorváth GergelyKeresztesi ZoltánNemerkényi ZsomborAgárdi NorbertBradák Balázs , Kovács AnikóSzabó Balázs , Szabó Renáta ,Poór István
Külső tagok:Klinghammer István, Márton Mátyás, Zentai László, Gercsák Gábor, Győrffy János, Elek István, Farkas Zoltán, Gede Mátyás, Faragó Imre

Kutatási téma:

A Magyarország Nemzeti Atlaszának (MNA) új kiadása (30 év után) hagyományos (analóg, nyomtatott), DVD és online változatban látna napvilágot 2015-2018 között (2013-as projekt kezdés esetén). A hagyományos és DVD változat négy kötetből állna (1. A magyar állam és nemzet - bevezetés, 2. Természeti környezet, 3. Társadalom, 4. Gazdaság). Az MNA online (nyilvános és korlátozott, kormányzati hozzáférésű) változat a munkálatok előrehaladásával párhuzamosan, folyamatosan válna elérhetővé az erre a célra kialakított honlapon, ahol az egyes témakörök (a feltételek meglététől függően) folyamatosan újulnának (Online MNA Nonstop). A kutatás közvetlen előzménye a kutatócsoport vezetője által szerkesztett országimázs atlasz angol és magyar változata: Hungary in Maps (2009), Magyarország térképekben (2011).

Külföldi kapcsolatok:

A kutatócsoport tagja (Zentai L., ELTE) a Nemzetközi Térképészeti Társulás (International Cartographic Assotiation, ICA) jelenlegi főtitkára. Évtizedes szakmai együttműködési kapcsolat: Commission on Atlases of the ICA (Jordan, P. Bécs, OTA), Institut für Länderkunde (Lipcse, Német Nemzeti Atlasz), UTA Földrajzi Intézet (Kijev, Ukrán Nemzeti Atlasz), egyéb atlasz-kartográfiai együttműködés (pl. Pozsony, Ljubljana, Zágráb, Bukarest, Zürich, Varsó, Moszkva, Minszk).

duminică, 21 iunie 2015

GEOPOLITICA Din revista SECURITATE NATIONALA, SECURITATE INTERNATIONALA

Vă rog să citiți acest text selectat de mine, în speranța că vă poate interesa. 
Cu prietenie, Dan Culcer

Numarul 2 / 2011 SECURITATE NATIONALA, SECURITATE INTERNATIONALA
1. Corvin LUPU, ASPECTE DIN ISTORIA SECURITATII. DE LA SMERS LA „TRADAREA” KGBULUI APPEARANCES OF THE SECURITATE’S HISTORY. FROM SMERS TO THE KGB’S TREASON Abstract The article presents three important moments of the Romanian secret political policy and information system history. It is usually spoken about the crimes committed by the Securitate, especially in the period of the Soviet Union military occupation (1944-1958). The first moment related is about the creation of the Securitate by the Soviets and shows nominally the most important leaders of the institution, which were especially selected from the ethnical minorities groups. Most of them were Jews. In the same time it is related about the very important role of the Soviet counselors. The second part of the article presents the moment of the Securitate’s history in which the Romanian national political movement brought especially Romanians in Securitate and begin the process of elimination the Jews and other ethnic minorities from the institution. In the last part of the article, it is shown how the Securitate and Romania catch up as an enemy of the Soviet Union. After many years of preparations, in closely cooperation with the most important Occidental states, Soviet Union succeed in to change the Romanian political system and the Ceausescu’s independent policy. Keywords Securitate, crimes, Jews, political policy, secret service, independence Institutional affiliation of the author(s): „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies, Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro , web: http://sprise.ulbsibiu.ro E-mail: corvinlupuro@yahoo.com

2. Pavel MORARU, VIZIUNEA ROMÂNEASCA PRIVIND ATRAGEREA TURCIEI ÎN CEL DE-AL DOILEA RAZBOI MONDIAL ROMANIAN VIEW ON TURKEY ATTRACT TO THE SECOND WOLD WAR Abstract During the Second World War, Turkey had been the center of attention of the countries involved in the war, due to its geostrategic position. On 26 June, 1941, Turkey proclaimed its neutrality. Germany and Great Britain put pressure upon it in order to enter the war. Turkey did not accept and the Romanian military attaché in Ankara, colonel Traian Teodorescu, tried to explain the causes of that situation. His report’s conclusion was: Turkey avoided the engagement in the war and tried to maintain an equal distance between both the Axis and the Allies, because of the uncertain position of the Soviet Union regarding the Turkey’s territorial integrity, especially the straits. Keywords Second World War, Turkey, Romania, neutrality Institutional affiliation of the author(s): „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro, web: http://sprise.ulbsibiu.ro E-mail: morarup@yahoo.de 

3. Stelian SCAUNAS DEFINITIA CONVENTIONALA A CRIMEI DE AGRESIUNE SI COMPETENTA CURTII PENALE INTERNATIONALE CU PRIVIRE LA ACEASTA, CA POSIBILA REALITATE DOAR DUPA ANUL 2017 CRIME OF AGGRESSION CONVENTIONAL DEFINITION AND THE COMPETENCE OF THE INTERNATIONAL CRIMINAL COURT IN THIS MATTER, AS A POSSIBLE REALITY ONLY AFTER 2017 Abstract The absence of a clear definition of aggression and the means by which it would be limited in the international behavior, especially by defining and punishing serious crimes of aggression, is one of the biggest problems that the international community is facing for more than half a century and without solving it, the ideal international law as a right of peace is virtually unattainable. We are today in the presence of a laudable attempt to define aggression and the crime of aggression closely linked to the work of States Parties to the Rome Statute of the International Criminal Court. It is a laudable attempt, because it tries to end the string of failed attempts in the interwar period and especially after the adoption of the UN Charter, which proclaims non-aggression treaty as one of the seven fundamental principles of public international law. It is about the Review Conference of the International Criminal Court Statute, which took place from May 31 to June 11, 2010, in Kampala, Uganda, the conference convened by the General Secretary of the United Nations, aimed at defining the crime of aggression, knowing the fact that this international criminal court, the first world criminal court established by a general treaty, had suspended by its jurisdiction the crime of aggression just because of the absence of a conventional definition of the crime. For a long time, the states have had a legitimate right to make war (jus ad bellum), namely to use armed force to resolve the disputes between them. The concerns for limiting the war as an instrument of national policy of the States and peaceful settlement of international disputes, although they appeared quite late in terms of rules of international law, become almost an obsession that will become more prominent after the Second World War . With the adoption of the UN Charter, the irregularly war of aggression becomes a rule with character of universality and with a value of fundamental principle of public international law. Basically, the UN Charter requires to the states the obligation to refrain in their international relations from the threat of using force or to use it against the territorial integrity or political independence of any State, or otherwise in inconsistent with the Purposes of the United Nations. Other international documents will reaffirm and develop this prohibition with value of fundamental principle. After 12 years from the adoption of the Statute of the International Criminal Court and 10 years after its entry into force, we are witnessing a strong attempt to revise the treaty, precisely in order to define the crime of aggression and thus to offer the Court the necessary jurisdiction to judge this crime. Beyond the importance of the historical definition of the crime of aggression, which opens the way towards becoming effective public international law as jus against bellum, the revision of the Rome Statute adds efficiency to the International Criminal Court, that along with few other exceptions, represents the required justice at universal level. All of these are outstanding results of the international community's efforts to put an end to a great extent, to the arbitrary manifest in international relations, especially regarding the use of force as an instrument of national policy. We can hardly say that these achievements are the best as possible regulators of public international law. Keywords public international law, international criminal Responsibility, International Criminal Court, International Crimes, aggression, crimes of aggression Institutional affiliation of the author(s): „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies, Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro , web: http://sprise.ulbsibiu.ro E-mail: scaunass@yahoo.com

4. Silviu NATE 1 Aurelian RATIU 2 ABUZURI SI ÎNCALCARI GRAVE ALE DREPTURILOR OMULUI ÎN TIMPUL CONFLICTELOR ARMATE. HUMAN RIGHTS ABUSE AND SERIOUS VIOLATIONS DURING ARMED CONFLICTS Abstract The term "war crime" refers to a violation of the rules of jus in bello (justice in war) by any individual, whether military or civilian. The laws of armed conflict prohibit attacks on civilians and the use of weapons that cause unnecessary suffering or long-term environmental damage. Other war crimes include taking hostages, firing on localities that are undefended and without military significance, such as hospitals or schools, inhuman treatment of prisoners, including biological experiments, and the pillage or purposeless destruction of property. Although clearly outlawed by international law, such war crimes are common. Keywords Human rights, war crime, justice, abuse, children rights, conflict Institutional affiliation of the author(s): (1) „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies, Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro, web: http://sprise.ulbsibiu.ro (2) Land Forces Academy “Nicolae Balcescu”, Revolutiei Str. No. 3-5, 550170, Sibiu, Romania, www.armyacademy.ro, Tel: ++40-269-432990, Fax: ++40-269- 436362, E-mail:office@armyacademy.ro; (1) E-mail: silviu.nate@ulbsibiu.ro (2) E-mail: aurelian_ratiu@yahoo.com

5. Vasile TABARA CONSIDERATII ASUPRA CONSECINTELOR MIGRATIEI REFLECTIONS ON THE CONSEQUENCES OF MIGRATION Abstract Economic globalization encourages migration, but migration is to occur and the threat of cultural transformation that can induce host countries to ally to stop this phenomenon by treaties and agreements on border control. The phenomenon of migration is related to: increase and expansion of multinational companies, armed conflicts, economic collapse, political or religious persecution, natural disasters. Keywords Globalization, migration, threats on security, armed conflicts, economic collapse, political or religious persecution, natural disasters Institutional affiliation of the author(s): „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro, web: http://sprise.ulbsibiu.ro E-mail: vasile.tabara@ulbsibiu.ro 


6. Eugen STRAUTIU EURASIANISM SI NEOEURASIANISM EURASIANISM AND NEO-EURASIANISM Abstract Geopolitical and security thinking in contemporary, eurasianism is already a tradition that allows its versions and schools. Like any ideological paradigm, representatives of various tendences use to contradict and offer significantly different views, in the same paradigm. Today, the emblematic figure represented neoeurasianism is Russian scientist Alexander Dughin. Keywords geopolitics, security, pan-slavism, eurasianism, atlanticism Institutional affiliation of the author(s): „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro, web: http://sprise.ulbsibiu.ro E-mail: eugen.strautiu@ulbsibiu.ro 

7. Ioana STRAT POLITICA EUROPEANA DE VECINATATE SI MANAGEMENTUL CONFLICTELOR ÎNGHETATE DIN SPATIUL POST-SOVIETIC. UN CADRU DE ANALIZA EUROPEAN NEIGHBOURHOOD POLICY AND MANAGEMENT OF FOREZEN CONFLITS IN POST-SOVIET SPACE. A FRAMEWORK FOR ANALYSIS Abstract This paper seeks to discern a modus operandi in EU conflict management as part of a comprehensive approach to end the post-Soviet conflicts, extend security and foster regional cooperation beyond EU’s borders after its enlargement to Central and Eastern Europe. The European Security Strategy launched a discourse focusing on preventing threats, building security and committing to peaceful conflict resolution in the near abroad. In practice, the EU developed a specific conflict management pattern in the Eastern neighborhood based on reterritorialization and equal partnership, while aiming to foster stronger regional ties among the post-Soviet countries. Although not a conflict resolution instrument per se, the European Neighborhood Policy stems from a geopolitical vision inspired by the EU’s cross-border reterritorialization approach, aiming to prevent new fault lines and structural gaps between the EU-27 and its neighbors. However, the lack of accession conditionalities raises concerns about the reluctance of EU’s partners to respect the ENP commitments, while the increasing protection of EU’s external borders threatens to undermine the logics of cross-border cooperation and raise new barriers of mistrust. Likewise, underestimating Russia’s competitive tactics and the obvious differences between the Caucasian states can prevent the EU from advancing regional cooperation and influencing effective conflict management. Keywords EU reterritorialization, conflict management, European Neighborhood Policy, post-Soviet conflicts Institutional affiliation of the author(s): Faculty of History and Philosophy, „Babes-Bolyai” University, Cluj-Napoca, Str. Mihail Kogalniceanu nr.1, Cluj-Napoca, telefon 0264-405300 E-mail: ioana_strat@yahoo.fr 

8. Viorica TÎCU SPATIUL POST-SOVIETIC ÎN CAUTAREA UNEI IDENTITATI DE SECURITATE. CAZUL REPUBLICII MOLDOVA POST-SOVIET IDENTITY LOOKING FOR SECURITY. THE REPUBLIC OF MOLDOVA CASE Abstract Collapse of Soviet Union increased the world with 15 independent countries. Historically each of the nations was unique with different cultural, political and economical development. Before events of 90th for world history was not familiar changing of countries with central economies into capitalist and democratic states. These countries somehow were the part of historical experiment, whether their development was forming under not natural conditions for the identity of their nations. But the post soviet countries built their development from zero. For numbers of countries their way from Moscow to European Union leaded to fully integration in democratic society. The problems of security within the territory of the former Soviet Union are numerous. The Republic of Moldova has undergone one of the more difficult and uneven transition processes of all postsoviet republics. In part, this has been due to the country’s uncertain political direction, positioned as it is between an expanding European Union to the west and Russia to the east. Political andterritorial separatism remains one of the main concerns and the obstacle in the process of state building and on the way of reintegrating the Moldovan society. The security architecture in the Republic of Moldova is still in the process of formation, which complicates the situation. The situation in Republic of Moldova represents a combination of many factors, such as: the disintegration of a huge, multiethnic, totalitarian empire; the security asymmetry between powerful ex-hegemony and weak neighbors; the dominance of ethnic nationalism; the simultaneous processes of reintegration and disintegration; the absence of democratic traditions in local political and economic culture and weakness of civil society. Keywords Post-Soviet space, Russia, transition, Republic of Moldova, neutrality status,security problems, Transnistria, risks, assessment Institutional affiliation of the author(s): History an International Relations Faculty, Free International University of Moldova, 52 Vlaicu Parcalab street, Chisinau, MD-2012 Republic of Moldova, Tel.: (+373 22) 220029; Tel/Fax.: (+373 22) 220028, email: office@ulim.md,http://ulim.md/ E-mail: ticuviorica@yahoo.com 

9. Eugen LUNGU CONFLICTUL DIN LIBIA – O AMENINTARE PENTRU SPATIUL TRADITIONAL DE SECURITATE AL ALIANTEI NORD-ATLANTICE? THE LIBYAN CONFLICT – A THREAT FOR THE TRADITIONAL SECURITY SPACE OF NATO? Abstract Starting on 31th March, 2011 the North Atlantic Organization took over military air operations against Gaddafi's loyal forces, having the agreement of the National Transition Council (the Libyan opposition). UN Resolution of 1973 was voted by 10 members of the UN Security Council and five members abstained from voting (China, Russia, Brazil, India and Germany). The states which are permanent members of the UN Security Council did not use the veto. It's a good thing as compared to Kosovos situation in 1999 when there were countries that were against it. The takeover by NATO of military operations in Libya hasdemonstrated that the alliance has some issues to solve in order to achieveconsensus when NATO executes a mission outside the traditional area of operations established by Treaties. Although within the NATO Summit of Lisbon in 2010 there was developed a New Alliance Strategic Concept, however, NATO has continued to have problems according to the member states` different perception of threats against the Alliance. The massive migration of Libyans to Tunisia, France, Italy, etc. created a security problem in North Africa and the Southern Europe. Within NATO, Germany did not want to participate with military forces in the operation in Libya, and Turkey opposed, in the first part, the making of a decision on NATO's military intervention in Libya. The decision of the UNSecurity Council concerning community international`s possibility to militarily intervene in Libya has reopened the debate on the doctrine of humanitarianintervention. Keywords Libya, North Atlantic Alliance, security, Libyan civil war, authoritarian regime Institutional affiliation of the author(s): Faculty of International Relations and European Studies, University of South East Europe LUMINA-Bucharest, Soseaua Colentina Street, No.64b, Sector 2, Phone 021.240.30.22, Fax: 021.240.30.33 E-mail: eugenbuc2004@yahoo.com STIINTE POLITICE 

10. Delia STEFENEL MODELUL SUDIC AL MIGRATIEI POSTCOMUNISTE. RECONFIGURARE ÎN CONTEXTUL ACULTURATIEI ROMÂNILOR DIN ATENA THE SOUTHERN MODEL OF POST-COMUNIST MIGRATION. RECONFIGURATION AMONG ROMANIANS' ACCULTURATION IN ATHENS Abstract Even if there are many Greek texts about the migration of people coming from the ex-East-European communist block toGreece, the Romanian segment still remains understudied. Thus, the aim of the present study was to depict the dynamic of the first-generation Romanian economic migration to Greece, an ardent topic for the sending and the receiving society. More precisely, we intended to outline the immigrant profile, taking into account several specific factors before and after migration. Given that this paper is a part of a larger cross-cultural research about Romanians' acculturation and adjustment on the Hellenic territory, in this paper emphasis is given on the importance of minorities’ culture maintenance versus contact with hosts. In line with our assumptions and based on data collected from 126 native Greeks and 148 Romanian immigrants, the intergroup relationship could be explained and enhanced according to the significance both cohabitant communities give to personal and perceived culture and contact uphold. Keywords labour migration, acculturation, Romania Institutional affiliation of the author(s): University of Social and Political Sciences Panteion, Athens, Greece, 136 Sygrou Avenue, 17671 Athens E-mail: deliaste@yahoo.com 

11. Bogdan GHEORGHITA STRATIFICAREA SOCIALA ÎNTRE FUNCTIONALISM SI TEORIA CONFLICTULUI: ÎN CAUTAREA UNEI PERSPECTIVE INTEGRATOARE SOCIAL STRATIFICATION BETWEEN FUNCTIONALISM AND CONFLICT THEORY: LOOKING FOR A HOLISTIC VIEW Abstract The concept of „social stratification” is complex and has a long history. The two perspectives that have marked the history of stratification are the „functionalist” and the „conflict theory”. Despite this long history, only recently, through the works of Gerhard Lenksi, we can say that we witness an attempt to integrate the two perspectives. In this article we try to review the main points of view of the supporters of the functionalist and those of the conflict theory, by illustrating the common points, looking for a perspective that integrates them. Keywords social stratification, the conflict theory, functionalism, social class Institutional affiliation of the author(s): „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro, web: http://sprise.ulbsibiu.ro E-mail: bogdan.gheorghita@ulbsibiu.ro 

12. Diana Maria HULEA MODALITATILE DE SOLUTIONARE A CONFLICTELOR ÎN COMUNITATILE ROME TRADITIONALE HOW TO SOLVE CONFLICTS IN TRADITIONAL ROMA COMMUNITIES Abstract Each traditional Roma community is ruled by a leader, a person who is chosen for the age, experience, and wisdom. The leader of a Roma community is a person who inspires respect by his status and intelligence, a person who by his own life sets an example for the others. The leader settles minor disputes on the basis of his mature judgment, and his decisions are followed by the other members of the community. However, if the matter to be settled is a serious one, such as theft, adultery, acts of physical violence, or complicated disputes between two parties, a court is convened. This court is called the Kris. Kris is a traditional court for conflict resolution in the Roma culture. A Kris represents the Highest Court, collective wisdom and social consciousness simultaneously. It is the highest legal and moral authority and therefore the most important control organ over all areas of life. The main purpose of this paper is to present aspects regarding the traditional way of solving conflicts in the Roma community and to explain how Roma use superstition to substitute for traditional institutions of law and order. The data collection method used was the semi-structured interview. We selected 42 people who have representative opinions for the general population. The sample used is divided into two groups of subjects, those from rural areas and those from urban areas. These groups are divided into two categories according to whether the group belongs to the former nomadic people or to the sedentary people. It was found that in the traditional Roma community there are diffuse forms of collective authority, such as the community leaders or bulibasa, the Roma traditional trial and the authority exercised by the extended family, especially the elderly. Keywords conflict, rroma, traditions, community Institutional affiliation of the author(s): Faculty of Sociology and Social Work, University of Bucharest, Bd. Schitu Magureanu no. 9, Bucharest E-mail: diana.hulea@yahoo.com 

13. François-Robert GIROLAMI LA NOTION D'ÉTAT AU REGARD DE L'HISTOIRE. SON IMPORTANCE DANS LES RELATIONS INTERNATIONALES. SITUATION DES SOCIÉTÉS POST-COMMUNISTES THE NOTION OF STATE UNDER HISTORY, ITS IMPORTANCE IN INTERNATIONAL RELATIONS. SITUATION OF POST-COMMUNIST SOCIETIES Abstract Today, post-communist societies are built on the basis of their past. The report as maintenance populations of these countries is sometimes contradictory and should be studied by a multidisciplinary approach: not only political but also anthropological and sociological. Economically, the integration of these countries into the global economy is a major issue: it may be a factor for growth and stability, but also be victims of a global crisis. Perhaps, in these new countries will emerge a new definition of the state. Keywords state, international relations, transnational politics, security, independence Institutional affiliation of the author(s): Universite de Provence Aix-en-Provence, http://gsite.univ-provence.fr/ E-mail: fgirolami@club.fr 

14. Dana ALEXANDRU LOCUL SI ROLUL COLECTIVITATILOR LOCALE ÎN SISTEMUL DREPTULUI AN OVERVIEW ON THE LOCAL COLLECTIVITY PLACE IN THE LAW SYSTEM Abstract The legal doctrine debate on the notion of local collectivity is limited only to describing structures, ways of functioning or to examine attributions. The notion of local collectivity is a part of the legislation, the jurisprudence and of the doctrine that sets it in the fields of legal analysis. Local collectivities are socio-political and legal realities belonging to the contemporary administrative space, having a distinct identity and a constant evolution in the public interest ensuring mechanism. With legal status, local collectivities are able to participate in the legal circuit using the law mechanisms in their own name and in their members’ interest, as a power guarantee to act independently and effectively. The Europeanization process will necessarily help to ensure consistency of terminology in designation of realities, with status and common features and to which a greater role is devotes in the administrative mechanisms of public interest class insurance-a more meaningful class-the local one. Keywords local collectivity, local law, principles and techniques who organize the local collectivity Institutional affiliation of the author(s): „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro, web: http://sprise.ulbsibiu.ro E-mail: dana.alexandru@ulbsibiu.ro RECENZII 

15. Bogdan GEORGHITA PIERRE-JEAN LUIZARD, MODERNIZAREA TARILOR ISLAMICE, BUCURESTI, EDITURA ARTEMIS, 2008 Institutional affiliation of the author(s): „Lucian Blaga” University in Sibiu, Faculty for Political Sciences, International Relations and European Studies Calea Dumbravii Street, No. 34, Phone: +40.269.422.169, Fax:+40.269.422.169, e-mail: sprise@ulbsibiu.ro, web: http://sprise.ulbsibiu.ro E-mail: bogdan.gheorghita@ulbsibiu.ro PARTENERIATE 

16. Marius HALMAGHI ASOCIATIA ECOMUZEUL REGIONAL SIBIU REGIONAL ECOMUSEUM ASSOCIATION SIBIU Abstract Project Ecomuzeul Regional Association Sibiu (founded 2006) aims to develop a Ecomuzeu on the territory of six rural municipalities in the county of Sibiu, which supports local authorities and communities to save and presentation of cultural and natural heritage, economic integration circuits with competitive products, creating a quality travel offers, shaping an identity specific to the territory by involving local communities. Keywords Ecomuseum, Association, Environment, Village protection Institutional affiliation of the author(s): Regional Ecomuseum Assocation Sibiu, Tribunei Street no. 6, Sibiu E-mail: marius_halmaghi@yahoo.com

Despre cauze și efecte. Protecția Crimeii și Crimeia care protejează

Vă rog să citiți acest text selectat de mine, în speranța că vă poate interesa. Cu prietenie, Dan Culcer

11 avril 2014, 20:30

La Crimée sera bien protégée

La Crimée sera bien protégée

Par La Voix de la Russie | Une réunion extraordinaire au ministère de la Défense de Russie a porté sur les perspectives de développement de l'infrastructure militaire en Crimée.

Le projet prévoit de doter les unités stationnées sur la péninsule d'armes et de matériel de guerre modernes.
Il est déjà notoire que le groupe criméen fera partie de la région militaire Sud. La Flotte de la mer Noire recevra des navires nouveaux. De nombreux experts trouvent qu'au fond la flotte doit être créée à nouveau : en plus de 20 ans écoulés depuis la dislocation de l'URSS elle ne recevait pratiquement pas de navires nouveaux et d'armements nouveaux pour son artillerie côtière. Selon le rédacteur en chef de la revue Vozdouchno-kosmitcheskaïa oborona(Défense aérospatiale) Mikhaïl Khodarenok même des pièces de réchange nécessaires pour l'entretien réglementaire des navires ne pouvaient pas franchir légalement la frontière russo-ukrainienne.
« La partie ukrainienne créait tous les obstacles possibles pour empêcher la disponibilité opérationnelle de la Flotte de la mer Noire. De fait, il faut la rééquiper complètement. Le commandement des forces navales a un projet approprié. Ce projet prévoit notamment de renforcer le groupe de navires de surface. Il s'agit de former à nouveau la 30e division des navires de surface qui comprendra des frégates de la classe Amiral Grigorovitch dotées de systèmes de missiles Kalibr.
Le groupe de sous-marins sera renforcé sensiblement, une brigade de sous-marins du projet 636 est en formation. La flotte n'est pas seulement les navires, c'est aussi des dragueurs de mines, des remorqueurs, l'artillerie côtière dotée d'armes modernes. Bref, c'est un grand complexe.
Il est tout à fait évident que le ciel de Crimée doit être bien protégé. Selon Mikhaïl Khodarenok des systèmes sol-air différents seront déployés pour renforcer la défense anti-aérienne des troupes et des bases en Crimée.
« La protection des sites de la marine, des centres politiques et administratifs et ceux du commandement militaire situés sur la péninsule sera évidemment assurée par plusieurs systèmes de missiles S-400. Les unités militaires seront protégées par des systèmes de missiles sol-air appartenant à la défense anti-aérienne de l'armée de terre. Ce seront probablement une brigade de S-300B et d'autres systèmes ».
Outre les missiles, la défense anti-aérienne de la péninsule nécessite des avions de chasse et des radars. En la matière, il faut commencer par les aérodromes. Cela concerne aussi bien l'aérodrome de Belbek que celui de Simféropol. Il est nécessaire de réaménager les pistes d'atterrissage et de les doter d'équipements modernes. Après seulement on pourra passer aux avions. Il s'agira évidemment des appareils de pointe tels que les Soukhoï Su-30CM, Su-34 et, à terme, Su-35. En ce qui concerne les bombardiers, les médias évoquent les Toupolev Tu-22M3. Mais les cibles terrestres ne sont pas sa spécialisation. Quant au Soukhoï Su-34, il représente une arme puissante contre les cibles terrestres. Il allie les fonctions d'un bombardier tactique et d'un chasseur. Ces caractéristiques lui permettent d'accomplir les missions liées à la destruction des cibles navales, terrestres et aériennes.

marți, 16 iunie 2015

Le Collectif Indépendance des Chercheurs. Bilderberg et la crise des "puissances occidentales"

Vă rog să citiți acest text selectat de mine, în speranța că vă poate interesa. 
Cu prietenie, Dan Culcer

Article d'Indépendance des Chercheurs :


http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2015/06/11/bilderberg-et-la-crise-des-puissances-occidentales-i-50975.html

Bilderberg et la crise des "puissances occidentales" (I)

D'après le communiqué de presse des organisateurs, la rencontre de Bilderberg de 2015, qui commence ce jeudi 11 juin à Tels-Buchen en Autriche, s'annonce pleine d'interrogations et d'incertitudes. Les médias ont déjà évoqué la présence d'un nombre important de participants français. Mais c'est surtout l'éventail de sujets abordés cette année qui paraît de nature à attirer l'attention : intelligence artificielle, cybersécurité, armes chimiques, problèmes économiques actuels, stratégie européenne, mondialisation, Grèce, Iran, Moyen-Orient, OTAN, Russie, terrorisme, Royaume-Uni, Etats-Unis, élections aux Etats-Unis... Dans une telle rencontre, qui se définit comme une réunion de dirigeants politiques avec des « experts » de l'industrie, de la finance, du monde académique et des médias, le large domaine de thématiques critiques examinées à Tels-Buchen met en évidence l'inquiétude croissante des « puissances occidentales » devant l'évolution de la situation à l'échelle planétaire. En réalité, la stratégie récurrente imposée par les « élites » de ces « puissances » au cours des dernières décennies aux échelles mondiale et européenne se retourne contre elles un peu partout et dans tous les domaines. Présidée par le PDG d'AXA Henri de Castries, cette rencontre de Bilderberg programmée du 11 au 14 juin pourra difficilement faire le tour de l'ensemble des sujets envisagés et aboutir à des ébauches de solutions viables. Plus le temps passe, et plus les conséquences néfastes de la mondialisation du capitalisme et de son équivalent à l'échelle européenne apparaissent au grand jour. Mais ce sont avant tout les classes populaires qui, depuis longtemps, payent de plus en plus lourdement la facture de cette évolution.

[la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2015/06/11/bilderberg-et-la-crise-des-puissances-occidentales-i-50975.html ]


http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2015/06/13/bilderberg-et-la-crise-des-puissances-occidentales-ii-50977.html

Bilderberg et la crise des "puissances occidentales" (II)

Le 13 juin 2015, Ada Colau est devenue maire de Barcelone. En même temps, Manuela Carmena a été investie maire de Madrid. France Inter commente « Ada Colau et Manuela Carmena, deux indignées au pouvoir ». Ce ne sont que les deux exemples les plus médiatisés de la vaste expression de la colère populaire et du rejet de la « classe politique et experte » à laquelle ont donné lieu les élections municipales espagnoles. A cause de sa profonde crise économique, l'Espagne est devenue avec la Grèce un point d'avant-garde de la mise en cause citoyenne du système en place. Or ce sont précisément des représentants de la « classe politique et experte » des « puissances occidentales », qui se trouvent actuellement réunis à Tels-Buchen en Autriche dans une rencontre de Bilderberg marquée par l'accumulation de sujets devenus de plus en plus difficiles. Notre article du 11 juin « Bilderberg et la crise des "puissances occidentales" (I) » a déjà évoqué cette situation sans précédent. Qu'il s'agisse de la politique intérieure ou de la stratégie au niveau international, force est de constater la faillite de trois décennies d'une politique à la fois hégémoniste et de casse sociale. Que résultera-t-il de l'échec d'une stratégie basée sur la mondialisation du capitalisme imposée à pays et populations, y compris au sein desdites « puissances » ? Où aura mené l'interventionnisme permanent dans les affaires d'autres pays ? S'agissant de l'Europe, la Commission Trilatérale avait consacré en mai 2014 un rapport de sa Task Force à la « gouvernance européenne crédible » qui lui apparaissait indispensable. On trouve à la fin du rapport une composition de la Task Forceincluant Jean-Claude Trichet, André Sapir, Esko Aho, Edmond Alphandéry, Otmar Issing, John Kerr, Thomas Leysen, Andrzej Olechowski, Fernando Rodés Vilà, Hans Wijers et Paul Révay. Un groupe de personnes très influentes dans des domaines divers. Le rapport reprend à la fin une exhortation de Mario Monti à « regarder le futur de l'Europe avec le même optimisme dont ont fait preuve les pères fondateurs ». Pourtant, juste après et malgré les voeux émis, les résultats des élections européennes avaient clairement désavoué ce plaidoyer des « élites » politiques et « gestionnaires ». Que peut « délibérer » la rencontre de Bilderberg face à une telle impasse ?

[la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2015/06/13/bilderberg-et-la-crise-des-puissances-occidentales-ii-50977.html ]
 

et pour rappel :
Bilderberg 2014 : un contexte sous tension (I)
Bilderberg 2014 : un contexte sous tension (II)
Bilderberg 2014, cette semaine à Copenhague
Bilderberg 2014 : un contexte difficile
Bilderberg 2014 : une rencontre sur fond de crise
Bilderberg 2013 : des puissances en crise (I)
Bilderberg 2013 : des puissances en crise (II)
Bilderberg 2013 : des puissances en crise (III)
Bilderberg, Trilatérale, "théorie du complot"...

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Cordialement

Le Collectif Indépendance des Chercheurs 
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