Vă rog să citiți acest anunț selectat de mine, în speranța că vă poate interesa. Cu prietenie, Dan Culcer
La prochaine conférence aura lieu, comme prévu et indiqué dans le programme du printemps 2012de LMR, le samedi, 12 mai à 16h00, dans un amphithéâtre de l'école ICOGES (Institut de Commerce et Gestion) : 9, rue Saint-Lambert, 75015 Paris.
La rue St-Lambert est parallèle à la rue de la Convention et l'ICOGES se trouve en face de l'hôtel Mercure, facilement repérable. Le métro le plus proche, 5 minutes à pied, est Convention (ligne 12, porte de la Chapelle - mairie d'Issy) ou Boucicaut (ligne 8 Balard - Créteil), 10 minutes à pied.
La conférence comportera l’intervention de deux orateurs : Mme Ioana BOGDAN CATANICIU et Mme Maria BERZA. En pièce jointe les résumés et les CV des intervenants.
Avec l’espoir de vous accueillir le 12 mai lors de la conférence, nous vous prions de recevoir nos meilleures salutations.
Le secrétariat de LMR
Anca Lemaire et Anamaria Vasilescu
Dezbatere la Casa Română din Paris
Projets de développement alternatif pour Rosia Montana
Tout en s’opposant au projet d’exploitation minière en carrière de Rosia Montana, des organisations et des experts individuels ont proposé des projets destinés à revitaliser la région, basés sur un Or tout-à-fait différent, l’Or du patrimoine culturel, de la nature et du paysage, celui du développement durable des communautés.
Ces projets définissent une stratégie alternative de développement, qui trouve aussi des solutions à la réhabilitation sociale, économique et celle de l’environnement.
Ils mettent aussi un terme au taux de chômage très élevé de la région – plus de la moitié de la population active – jamais rencontré auparavant dans l’histoire de la communauté. Notre communication s’arrêtera sur plusieurs projets et mettra en évidence leurs avantages.
Maria Berza - CV
Expert et rapporteur du Conseil de l’Europe en politique culturelle, ancien Secrétaire d’Etat au Ministère de la Culture de la Roumanie, auteur et initiateur de nombreux projets et rapports sur la restauration et la mise en valeur du patrimoine historique, la législation culturelle, le développement durable basé sur le patrimoine culturel, Maria Berza a participé à de nombreuses campagnes destinées à la sauvegarde du patrimoine en danger.
Elle est aussi un des auteurs du Rapport de la Commission Présidentielle pour le Patrimoine Bâti, les Sites Historiques et Naturels, nommée par le Président de la Roumanie, où la situation de Rosia Montana est amplement présentée.
Rosia Montana et le projet d’exploitation minière RMGC
Rosia Montana – Alburnus Maior, dans les Carpates de l’Ouest de Transylvanie, site d’un grand intérêt culturel, partie intégrante du patrimoine mondial (les mines d’or les mieux conservées de l’Empire Romain, bâtiments d’un intérêt architectural indéniable des 18 & 19 siècles) est menacé depuis plus d’une décennie par le projet d’exploitation minière conçu par la compagnie « Rosia Montana Gold Corporation (RMGC) ». Ce projet qui préconise l’utilisation d’une technologie particulièrement dangereuse (emploi du cyanure) ne détruira pas seulement le site mais portera gravement préjudice à l’environnement de toute la région. L’identité sociale et culturelle sera elle aussi gravement affectée. Face à ces menaces (qui ne font que se durcir et qui malheureusement bénéficient de l’appui des plus hauts responsables politiques de l’Etat Roumain) de nombreuses personnalités du monde universitaire et académique, une multitude d’institutions et des ONG, roumaines et internationales, se sont mobilisées et militent pour la sauvegarde de Rosia Montana.
Notre communication comportera deux grandes parties. La première portera sur l’histoire du site depuis l’antiquité à nos jours avec un accent particulier sur : l’exploitation de l’or à l’époque romaine ; le développement, à partir de la fin du Moyen Age, de la culture traditionnelle des « Moti » en cohabitation avec celle des allemands et des hongrois ; la vie dans la région entre les deux guerres mondiales et la terreur de l’époque communiste. La deuxième partie concerne le projet d’exploitation minière de la compagnie «RMGC » avec toutes ses implications d’ordre culturel et scientifique, d’ordre social et économique, d’ordre juridique et politique, d’ordre écologique et certainement pas en dernier lieu d’ordre moral.
Pour terminer nous allons souligner qu’en dehors de Rosia Montana d’autres projets d’exploitation minière existent dans cette région des Carpates de l’Ouest, appelée le “Quadrilatère d’Or”. «RMGC » a pu obtenir dans ces cas aussi des concessions de la part des autorités roumaines.
Prof. Dr. Ioana O. M. Bogdan Cataniciu, Diplômée de la Faculté d’Histoire et Philosophie de l’Université Babes-Bolyai de Cluj (1967), docteur en sciences historiques de l’Université de Bucarest (1981); chercheur aux Instituts d’Archéologie de l’Académie Roumaine de Bucarest et de Cluj; coordinateur scientifique de la recherche du secteur Archéologie de l’Institut d’Archéologie et d’Histoire de l’Art, Cluj. Membre de la Commission Nationale d’ Archéologie 1993-2001 et de la Commission de l’Histoire des Villes auprès de l’Académie Roumaine.
Domaines d’activité: frontière romaine de la Dacie et la vie urbaine en Dacia et Moesia Inferior. Recherches archéologiques à Adamclisi (Tropaeum Traiani), Alba Iulia (Apulum) et dans les fortifications romaines sur la frontière au sud-est de la Dacie (le système fortifié entre le Danube et les Carpates). Etudes de photo-interprétation des vestiges romains et des « Valla de Trajan » en Dobrogea.
Rosia Montana – Alburnus Maior, dans les Carpates de l’Ouest de Transylvanie, site d’un grand intérêt culturel, partie intégrante du patrimoine mondial (les mines d’or les mieux conservées de l’Empire Romain, bâtiments d’un intérêt architectural indéniable des 18 & 19 siècles) est menacé depuis plus d’une décennie par le projet d’exploitation minière conçu par la compagnie « Rosia Montana Gold Corporation (RMGC) ». Ce projet qui préconise l’utilisation d’une technologie particulièrement dangereuse (emploi du cyanure) ne détruira pas seulement le site mais portera gravement préjudice à l’environnement de toute la région. L’identité sociale et culturelle sera elle aussi gravement affectée. Face à ces menaces (qui ne font que se durcir et qui malheureusement bénéficient de l’appui des plus hauts responsables politiques de l’Etat Roumain) de nombreuses personnalités du monde universitaire et académique, une multitude d’institutions et des ONG, roumaines et internationales, se sont mobilisées et militent pour la sauvegarde de Rosia Montana.
Notre communication comportera deux grandes parties. La première portera sur l’histoire du site depuis l’antiquité à nos jours avec un accent particulier sur : l’exploitation de l’or à l’époque romaine ; le développement, à partir de la fin du Moyen Age, de la culture traditionnelle des « Moti » en cohabitation avec celle des allemands et des hongrois ; la vie dans la région entre les deux guerres mondiales et la terreur de l’époque communiste. La deuxième partie concerne le projet d’exploitation minière de la compagnie «RMGC » avec toutes ses implications d’ordre culturel et scientifique, d’ordre social et économique, d’ordre juridique et politique, d’ordre écologique et certainement pas en dernier lieu d’ordre moral.
Pour terminer nous allons souligner qu’en dehors de Rosia Montana d’autres projets d’exploitation minière existent dans cette région des Carpates de l’Ouest, appelée le “Quadrilatère d’Or”. «RMGC » a pu obtenir dans ces cas aussi des concessions de la part des autorités roumaines.
Prof. Dr. Ioana O. M. Bogdan Cataniciu, Diplômée de la Faculté d’Histoire et Philosophie de l’Université Babes-Bolyai de Cluj (1967), docteur en sciences historiques de l’Université de Bucarest (1981); chercheur aux Instituts d’Archéologie de l’Académie Roumaine de Bucarest et de Cluj; coordinateur scientifique de la recherche du secteur Archéologie de l’Institut d’Archéologie et d’Histoire de l’Art, Cluj. Membre de la Commission Nationale d’ Archéologie 1993-2001 et de la Commission de l’Histoire des Villes auprès de l’Académie Roumaine.
Domaines d’activité: frontière romaine de la Dacie et la vie urbaine en Dacia et Moesia Inferior. Recherches archéologiques à Adamclisi (Tropaeum Traiani), Alba Iulia (Apulum) et dans les fortifications romaines sur la frontière au sud-est de la Dacie (le système fortifié entre le Danube et les Carpates). Etudes de photo-interprétation des vestiges romains et des « Valla de Trajan » en Dobrogea.
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